
Top films japonais
Top films japonais :
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Les meilleurs films japonais Page 2
(l’après-guerre et les années 50)
Classés par préférence, puis par auteur ou par genre. (Quelques entrées hors décennie.)

La Forteresse cachée, Akira Kurosawa

Rashomon, Akira Kurosawa

Un merveilleux dimanche, Akira Kurosawa

Frère aîné, sœur cadette, Mikio Naruse
La simplicité de l’amour familial. Désintéressé, confortable. On n’est jamais aussi bien que chez maman.

La Bête blanche, Mikio Naruse
Magnifique huis clos « carcéral »

L’Intendant Sansho, Kenji Mizoguchi

La Vie d’O’Haru, femme galante, Kenji Mizoguchi
La véritable noblesse c’est de descendre les différents paliers de l’échelle sociale en gardant infailliblement la tête haute.

Miss Oyu, Kenji Mizoguchi

Le Mont Fuji et la Lance ensanglantée, Tomu Uchida

Jusqu’à notre prochaine rencontre, Tadashi Imai

Yoru no tsuzumi, Tadashi Imai
Thriller psychologique sourd et lent où le bruit de la rumeur écaille peu à peu le bonheur du mari cocu. Fidèle ou non, il faut trancher.

Le Pays de la neige, Shiro Toyoda

Le Paradis de Suzaki, Yuzo Kawashima
Suzaki, ou l’enfer des quartiers des plaisirs auxquels une geisha et son homme tentent d’échapper en vain. — Un crépuscule sans lendemain.

Comme une fleur des champs, Keisuke Kinoshita

Les Sept Samouraïs, Akira Kurosawa

Le Repas, Mikio Naruse
La douceur et la complexité du quotidien comme dans la rigueur et la simplicité d’un poème japonais.

Le Grondement de la montagne, Mikio Naruse

Nuages flottants, Mikio Naruse
L’art de la muflerie d’un homme qui s’évapore nonchalamment comme un nuage qui se fane au loin.

La Fin du printemps / Printemps tardif, Yasujirô Ozu
Bourgeon de juillet Au bras de son papa Fleurira peut-être.

Été précoce / Début d’été, Yasujirô Ozu

Voyage à Tokyo, Yasujirô Ozu

Printemps précoce, Yasujirô Ozu
Ozu ou l’incommunicabilité heureuse. Être là et savoir s’en contenter. Comme la triste vitalité d’un saule.

Récit d’un propriétaire, Yasujirô Ozu

Crépuscule à Tokyo, Yasujirô Ozu

Fin d’automne, Yasujirô Ozu

Herbes flottantes, Yasujirô Ozu

Vingt-Quatre Prunelles, Keisuke Kinoshita

Les Amants crucifiés, Kenji Mizoguchi

La Rue de la honte, Kenji Mizoguchi
Le cauchemar sans fards des lumières de Yoshiwara, le mirage de la fin de la prostitution… Grinçants sont les derniers violons du maître.

L’Idiot, Akira Kurosawa

Le Duel silencieux, Akira Kurosawa
Une lutte bien plus pour la dignité que contre la maladie. Mifune tout en retenue : un silence, une gueule impassible, et on a tout compris.

Ohara Shôsuke-san, Hiroshi Shimizu

L’Histoire de Jiro, Hiroshi Shimizu
Le charme de Shimizu : une sorte de nostalgie désuète du bonheur. Le tragique y est banal, touchant et simple. Le Rémi sans famille nippon.

Le Sifflement de Kotan, Mikio Naruse
Là-haut, dans les montagnes, le sifflement d’un peuple qui s’éteint. L’impérialisme et le racisme nippons, le choc des cultures, toujours.

Une femme dont on parle, Kenji Mizoguchi
Au-delà de l’intrigue amoureuse, comme un refrain qui s’entête : quand les femmes cesseront-elles d’être obligées d’en passer par là ?

Le Pauvre Cœur des hommes, Kon Ichikawa

Dobu, Kaneto Shindô
Ange sali par la crasse des hommes, Tsuru révèle autant les beautés que les petitesses des gens qui n’ont rien. Shindo l’humaniste.

Stakeout / The Chase / Harikomi / La Traque, Yoshitaro Nomura
La chaleur moite de l’été, la blancheur des ombrelles, l’ennui des soirées où rien ne se passe : un film noir qui s’évapore comme la rosée.

Chronique du soleil à la fin de l’ère Edo, Yûzô Kawashima (scénario : Shôhei Imamura)

Une femme indomptée, Mikio Naruse
Hideko Takamine en Scarlett des campagnes. Moins sage et “noble” que d’habitude, mais toujours aussi pugnace.

Un couple, Mikio Naruse
Sorte de préquel du Repas : la jeunesse d’un couple. On ne se sépare pas encore, on fuit ensemble croyant que c’est encore possible.

Nuage d’été, Mikio Naruse
Nuages d’été, ou les reliquats fragiles d’un monde rural qui tend à disparaître, loin des regards, face à l’inexorable marche du monde.

Destins de femmes, Tadashi Imai
Imai est peut-être le cinéaste japonais le plus sous-estimé des années 50. Autre exemple avec ce film à sketches réaliste et mélancolique.

Santé, Mademoiselle ! / Ojôsan kanpai, Keisuke Kinoshita

Carmen revient au pays, Keisuke Kinoshita

Wedding Ring / Konyaku yubiwa, Keisuke Kinoshita

Gan / Les Oies sauvages, Shirô Toyoda

Histoire singulière à l’est du fleuve / Bokutô kitan, Shirô Toyoda
Mélodrame au sens noble, sans excès ou effets. Mise en scène méticuleuse, ambiances tamisées et contemplatives. Musique parfaite des corps.

Le Fleuve noir, Masaki Kobayashi

Fleurs d’équinoxe, Yasujirô Ozu

Desperate Outpost / Dokuritsu gurentai, Kihachi Okamoto

Le Bal de la famille Anjo, Kôzaburô Yoshimura

Une poule dans le vent, Yasujirô Ozu

Dernier Caprice, Yasujirô Ozu

Rapport sur la conduite du professeur Ishinaka, Mikio Naruse

Bagatelle au printemps, Kajirô Yamamoto

La Dame de Musashino, Kenji Mizoguchi

Les Musiciens de Gion, Kenji Mizoguchi

Les Contes de la lune vague après la pluie, Kenji Mizoguchi

Le Héros sacrilège, Kenji Mizoguchi

Lettre d’amour, Kinuyo Tanaka

Les Vauriens de l’époque Sengoku / Vagabonds guerriers, Hiroshi Inagaki

Duel à Ichijôji, Hiroshi Inagaki

La Voie de la lumière, Hiroshi Inagaki

L’Homme au pousse-pousse, Hiroshi Inagaki

Le Passage du grand Bouddha, Tomu Uchida

Le Passage du grand Bouddha 3, Tomu Uchida

Une auberge à Osaka, Heinosuke Gosho

Les Baisers, Yasuzô Masumura
Les amours adolescentes ou le plaisir de suivre Titi pétiller autour du bougon Gros minet pour lui faire la cour.

The Blue Sky Maiden, Yasuzô Masumura

L’Enfant favori de la bonne, Tomotaka Tasaka

Le Cou du vassal / Gerô no kubi, Daisuke Ito

Une femme de Meiji, Daisuke Ito

Les Feux dans la plaine, Kon Ichikawa

Jun’ai monogatari, Tadashi Imai

Ombres en plein jour, Tadashi Imai

Godzilla, Ishirô Honda

Une image vivante / Ikiteiru gazô, Yasuki Chiba

Flamme de mon amour, Kenji Mizoguchi

Fûsen / Le Ballon, Yûzô Kawashima
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