Mikio Naruse

Mikio Naruse

naruse

 
Classement :
 

10/10

  • Quand une femme monte l’escalier (1960) *
  • Frère aîné, Sœur cadette (1953) *
  • La Bête blanche (1950) *

9/10

  • Nuages flottants (1955) *
  • Une femme dans la tourmente (1964) (Tourments) *
  • Le Grondement de la montagne (1954) *
  • Acteurs ambulants (1940) *
  • Le Repas (1951) *
  • À l’approche de l’automne (1960)
  • Comme une épouse, comme une femme (1961) *
  • L’Histoire d’une femme / Onna no rekishi (1963) **
  • Courant du soir (1960) *
  • Le Sifflement de Kotan (1959) *
  • La place de la femme (1962)
  • Les Vicissitudes de la vie II (1937) *

8/10

  • Nuages d’été (1958) *
  • Chez les femmes (1955 Short Film) **
  • L’Étranger à l’intérieur d’une femme (1966) *
  • Chronique de mon vagabondage (1962) **
  • Une femme indomptée (1957) **
  • Bon courage, larbin ! (1931 Short Film) ***
  • Ma femme, sois comme une rose (1935) *
  • Hideko, receveuse d’autobus (1941)
  • Un couple (1953) *
  • Délit de fuite (1966) **
  • Tsuruhachi et Tsurujiro (1938) *
  • Le Cœur sincère (1939)
  • La Rue en colère (1950) *
  • Rapport sur la conduite du professeur Ishinaka (1950)
  • Les Vicissitudes de la vie I (1937) *
  • Cette belle vie (1944) *

7/10

  • La Bataille de roses (1950)
  • Nuages épars (1967)
  • La Mère (1952)
  • Au gré du courant (1956) *
  • L’Éclair (1952) **
  • Après notre séparation (1933)
  • Pluie soudaine (1956
  • Rêves de chaque nuit (1933)
  • Le Fard de Ginza (1951)
  • Sans liens de parenté (1932)
  • Histoire de l’arc au temple de Sanjusangendo (1945)
  • Anzukko (1958) *
  • La Danseuse (1951) ***
  • La Fille dont on parle (1935)
  • Avalanche (1937) **
  • Les Larmes d’une femme (1937) ***
  • Une avenue au matin (1936) **
  • Okuni et Gohei (1952) **
  • Un visage inoubliable (1941 Short Film)
  • Ma mère ne mourra jamais (1942) **

6/10

  • Chrysanthèmes tardifs (1954)
  • Fille, Épouse et Mère (1960)
  • Épouse (1953) ***
  • Toute la famille travaille (1939)
  • Trois Sœurs au cœur pur (1935) *
  • Cœur d’épouse (1956) *
  • Les Descendants de Taro Urashima (1946) *
  • Le Chemin du drame (1944)

5/10

  • La Rue sans fin (1934)
  • Le Chemin parcouru ensemble (1936)

*Films commentés (articles) :

*Films commentés (articles) :

*Films commentés (articles) :

*Films commentés (articles) :

*Films commentés (articles) :

**Films commentés (courts articles) :

**Films commentés (courts articles) :

***simples notes :

La Danseuse, Mikio Naruse (1951)

Histoire intéressante, scénario au point (Kaneto Shindo s’y est collé), mise en scène excellente. Mais un sujet et des personnages qui me laissent un peu de marbre. 

Bon courage, larbin!, Mikio Naruse (1931)

Une comédie, un peu comme Ozu à la même époque. Une relation entre un père démarcheur en assurance et son fils. Précision et concision. Pas un plan ne ressemble à un autre, impressionnant. 

Les Larmes d’une femme, Mikio Naruse (1937)

Une jeune mariée sert de bonniche à sa belle famille ; elle tente d’aider la sœur de son homme amoureuse d’un garçon qui se voit refuser le mariage. Mélodrame classique. 

Un peu vain. Si ce n’était pour la présence de Takako Irie, la beauté toute japonaise, avec son visage ovale, son nez étroit et long, et sa petite voix miaulante, il n’y aurait pas grand-chose à en tirer de ses Larmes.

Ma mère ne mourra jamais, Mikio Naruse (1942)

Bon film mais qui finit par être pollué par les bonnes intentions, la morale et les valeurs d’abnégation et de travail propre à un cinéma de propagande (on est en 1942). Le film ne tombe jamais dans le pathos, on loue l’individualisme quand il est conçu pour aller dans le sens de la patrie, les excès romantiques. Tout esprit négatif ne serait pas bon pour le moral des troupes. Cette dignité et ces valeurs seraient tout à fait acceptables dans ce contexte mais on ne peut si facilement se défaire des intentions trop marquées de la propagande.

Épouse, Mikio Naruse (1953)

Le calque de Meshi. Petit drame de couple qui ne peut plus s’entendre. Problème : le personnage féminin principal est trop antipathique (il vaut mieux voir des hommes lâches et coureurs plutôt que des mégères qui n’aimant plus leur mari lui refusent à la fois maîtresse et divorce).