Top films japonais
Top films japonais :
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Les meilleurs films japonais Page 1
(les années 20 à 45)
Classés par préférence, puis par auteur ou par genre. (Quelques entrées hors décennie.)
Sazen Tange et le Pot d’un million de ryos, Sadao Yamanaka
Kôchiyama Sôshun, Sadao Yamanaka
Les Contes des chrysanthèmes tardifs, Kenji Mizoguchi
Histoire d’herbes flottantes, Yasujirô Ozu
Ma mère dans les paupières, Hiroshi Inagaki
Il y a des rendez-vous manqués qui laissent des blessures dont on ne peut guérir : un orphelin face au refus de sa mère de le reconnaître.
Pour une épingle à cheveux, Hiroshi Shimizu
Une femme et ses masseurs, Hiroshi Shimizu
Les Acteurs ambulants, Mikio Naruse
Les Vicissitudes de la vie I et II, Mikio Naruse
L’Armée, Keisuke Kinoshita
Pas de grandes effusions patriotiques, mais une subtilité, un amour et un lyrisme glorifiant plus le cocon familial que la guerre.
La Fille de l’usine à briques, Yasuki Chiba
Le Sabre pourfendeur d’hommes et de chevaux / Zanjin zanbaken, Daisuke Itô
Le Chevalier voleur, Daisuke Itô
Chokon, Daisuke Itô
Le Geste inexpliqué de Sumiko, Shigeyoshi Suzuki, Yoneo Ota
Le Policier, Tomu Uchida
Yaé, la petite voisine, Yasujirô Shimazu
Okoto to Sasuke, Yasujirô Shimazu
Qu’est-ce que la dame a oublié ?, Yasujirô Ozu
Les Frères et les sœurs Toda, Yasujirô Ozu
Le Fil blanc de la cascade, Kenji Mizoguchi
Courant chaud, Kôzaburô Yoshimura
Éclipse, Hiroshi Shimizu
Notes d’une chanteuse ambulante, Hiroshi Shimizu
Les Quatre Saisons des deux enfants, Hiroshi Shimizu
Monsieur Merci, Hiroshi Shimizu
Perle éternelle, Hiroshi Shimizu
Des enfants dans le vent, Hiroshi Shimizu
Voici les femmes du printemps qui pleure, Hiroshi Shimizu
Le Cœur sincère, Mikio Naruse
Ma femme, sois comme une rose, Mikio Naruse
Le regard de la femme bafouée, le drame des maris volages, et la douce sérénité du renoncement. Premier shomingeki pour Mikio Naruse.
Hideko, receveuse d’autobus, Mikio Naruse
Tsuruhachi et Tsurujiro, Mikio Naruse
La Rue en colère, Mikio Naruse
Film noir bourgeois et de propagande à la morale sans détour : si tu veux être Scarface, tu vas être « scarface ». Qui s’y frotte s’y pique.
Bon courage, larbin, Mikio Naruse
Cette belle vie, Mikio Naruse
Une page folle, Teinosuke Kinugasa
Où sont les rêves de notre jeunesse, Yasujirô Ozu
L’Épouse de la nuit, Yasujirô Ozu
Cœur capricieux, Yasujirô Ozu
Cœur enchaîné, Hiroshi Shimizu
Orochi, Buntarô Futagawa
Crâne, Dokuro, Sentarô Shirai
La Marche de Tokyo, Kenji Mizoguchi
Chocolate to heitai, Takeshi Sato
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