







septembre – décembre 2020
La Lune de Jupiter, Kornel Mundruczo (2017)
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120 Battements par minute
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Mon roi, Maïwen (2015)
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Cold War, Pawel Pawlikowski (2018)
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The Revenant, Alejandro González Iñárritu (2015)
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The House That Jack Built, Lars von Trier (2018)
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Duel sans merci / The Duel at Silver Creek, Don Siegel (1952)
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L’Exercice de l’Etat (2011)
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Coco (2017)
Après un début extrêmement laborieux où on navigue en plein stéréotypes mexicains, le film est réellement sauvé par son délire fantastique, macabre et bon enfant. On retrouve les ficelles habituelles de Disney, mais cette fois plus culturelles, juste dramatiques… Et faut avouer, que même usées jusqu’à la corde, elles sont plutôt efficaces. Le mystère sur le passé de « Coco » se dissipe peu à peu, le discours effleuré sur les pilleurs (de contenu artistiques) est assez réconfortant ; une manière d’honorer aussi un peu tous les artistes de talent oubliés. Et je me suis allé à une petite larme. On notera tout de même que Disney ne perd pas le nord : si le discours semblait dire à un moment qu’on pouvait aussi tout à fait vivre avec le seul hommage de ces proches (les vrais qui savent), on ne cracherait pas finalement sur un peu de gloire posthume, histoire — aussi — de capitaliser sur la mémoire des morts.
Le Professeur, Valerio Zurlini (1972)
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Susana la perverse , Luis Buñuel (1951)
Les Animaux fantastiques, David Yates (2016)
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Baby Face Nelson, Don Siegel (1957)
Ici brigade criminelle, Don Siegel (1954)
Ça commence à Vera Cruz, Don Siegel (1949)
El bruto, Luis Buñuel (1953)
La période mexicaine de Buñuel est décidément ma préférée, et de loin. On flirte avec le film noir, et toujours la misère sociale, l’opposition de classes, l’assemblage épars de diverses solitudes qui n’ont plus que la cruauté pour s’exprimer, etc.
Black Panther, Ryan Coogler (2018)
Pas fameux. La première heure est insupportable, il faut attendre que le roi soit destitué pour avoir un peu d’action, mais c’est un tout autre film qui commence en plein milieu. Les personnages sont sans intérêt, les acteurs pas beaucoup plus, la mise en scène est crade et on voit rien mais c’est une habitude dans le genre. Il n’y a guère que l’univers et le design qui vaut le coup d’œil : le côté hybride tradition high-tech ne pouvait que me séduire.
(Et y a rien de plus barbant que devoir supporter à la fin des films de ce genre, une scène bonus essentielle après le générique, plus une autre sans doute un teasing pour je ne sais quel personnage Marvel… Bientôt on aura le générique à la moitié du film.)