
Le meilleur des films catastrophe, apocalyptiques et postapocalyptiques
Top des meilleurs films de science-fiction
Films catastrophe, apocalyptiques et postapocalyptiques
La science-fiction connaît différents types, catégories ou sous-genres, pour les besoins de cette liste, j’en propose dix variantes, sachant que de nombreux films pourraient appartenir à plusieurs d’entre elles. L’impasse est faite ici sur les nombreux nanars et sur beaucoup de « classiques » pas suffisamment à mon goût.
- Anticipation, dystopie et films futuristes
- TechNoir & cyberpunk
- Hard SF, Horror & Space Opera
- L’horreur-tech
- Aux frontières du merveilleux, voyages & rencontres extraordinaires
- Voyages temporels
- Films catastrophe, apocalyptiques et postapocalyptiques
- Space Fantasy
- Steampunk & uchronies
- Comics & superhéros
- Courts-métrages
7. Films catastrophe, apocalyptiques et postapocalyptiques
Les films d’anticipation se veulent parfois très contemporains en décrivant un monde actuel qui déraille après une mauvaise expérience ou une mauvaise rencontre : les êtres humains pensent d’abord être en sécurité derrière leur savoir et leur science quand ils jouent avec le feu, domestiquent des virus ou des bêtes exotiques, avant qu’un grain de sable plonge l’humanité tout entière dans le crépuscule. Les films catastrophe racontent ce moment de bascule (parfois la réalité dépasse ce qui n’était alors que de la science-fiction, comme dans Le Syndrome chinois), le film apocalyptique en présente une forme radicale, et le film postapocalyptique décrit le monde d’après comme une mise en garde de ce qui pourrait nous attendre.



Le Mystère Andromède (1971)
Probable que le genre joue sur les peurs passées, ici avec les zones contaminées, les quarantaines, la peur (épidémique) de l’invisible.
La Chose d’un autre monde (1951)
Stalker (1979)



Mad Max 2 (1981)
Mad Max 3 (1985)
Mad Max Fury Road (2015)
(Je n’aime pas le premier.)



Wargames (1983)
Variation sur la peur nucléaire et sur ce qu’on n’identifie pas encore comme de la cyberdéfense.
Le Dernier Rivage (1959)
Gravity (2013)



Godzilla (1954)
Variation métaphorique de la peur nucléaire et variation du film de monstre.
District 9 (2009)
La menace est parfois exotique, mais l’allégorie propre à la science-fiction semble bien présente.
Jurassic Park (1993)
Variation sur le thème du zoo ouvert (à la King Kong).



L’Invasion des profanateurs de sépultures (1956)
Le film d’invasion est une variation sur la peur du « rouge », de l’étranger infiltré.
Children of Men (2006)
Moins radicale que Mad Max, mais pas pour autant une apocalypse heureuse…
Cloverfield (2008)
Invasion + monstre + apocalypse + film catastrophe. La bombe ne fait plus peur, l’allégorie devient celle du 11 septembre.