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Les films classiques incontournables notés 8,5/10

Hallelujah!, King Vidor
Un genre mort-né, une fulgurance endiablée incarnée par Nina McKinney, la tragédie du désir… Un objet dansant et sonore mal identifiable

Le Petit César, Mervyn LeRoy

Sur les ailes de la danse, George Stevens

Un cœur pris au piège, Preston Sturges
Stanwyck mène le bal, Fonda en ingénu qu’on prend plaisir à moquer… Sturges laisse de côté les messages naïfs et convainc enfin.

Blanche Neige et les sept nains, Walt Disney

Le Grand Sommeil, Howard Hawks

La Brigade du suicide, Anthony Mann
Un film de propagande à la gloire du fisc, pourquoi pas un jour un néo noir sur les huissiers de justice ?!

Le Trésor de la Sierra Madre, John Huston

La Chevauchée fantastique, John Ford

Rio Grande, John Ford

La Prisonnière du désert, John Ford

Le Fils du désert, John Ford

Règlement de comptes à O.K. Corral, John Sturges

Le train sifflera trois fois, Fred Zinnemann

Péché mortel, John M. Stahl

Le Fils du pendu, Frank Borzage
L’opposant le plus dur à affronter, c’est celui qu’on cache à l’intérieur. Entrer en empathie avec un criminel : le devoir d’une société.

La Tempête qui tue, Frank Borzage

La Femme au portrait, Fritz Lang
Derrière la mousseline enrhumée, un noir teuton se dessine, tout frémissant encore. Quand Fritz recadre le petit Edward il gît, émaculé.

La Femme à abattre, Raoul Walsh

La Maison dans l’ombre, Nicholas Ray
De la mythologie passée au mixeur : Œdipe se rend à Thèbes, le Sphinx est remplacé par Jocaste, et c’est Jocaste qui est déjà aveugle.

Rebecca, Alfred Hitchcock

Les Enchaînés, Alfred Hitchcock

Le crime était presque parfait, Alfred Hitchcock

Les Bas-Fonds de Frisco, Jules Dassin
La tragédie bien cruelle des petites gens trop honnêtes. Réalisme cru qui ne laisse aucune place à l’espoir.

Le Baiser du tueur, Stanley Kubrick
Si les personnages de Kubrick sont des natures mortes, des clichés, c’est pour mieux nous renvoyer une image figée de nous-même.

Point limite, Sidney Lumet

La Ronde, Max Ophuls

Le Plaisir, Max Ophuls

La Peau douce, François Truffaut

Le Voleur de bicyclette, Vittorio De Sica

Le Bel Antonio, Mauro Bolognini

La Ballade du soldat, Grigori Tchoukhraï

Les Chevaux de feu, Sergei Parajanov

Les Amants passionnés, David Lean
À la manière de Hitchcock avec qui il partage les mêmes acteurs, Lean filme les scènes d’amour comme des scènes de meurtre. Le thrill de l’amour…

Un homme pour l’éternité, Fred Zinnemann

Mademoiselle Julie, Alf Sjöberg

La Honte, Ingmar Bergman
Le seul courage c’est celui de vivre avec l’autre. La paix, c’est une guerre qu’on a renoncé à se faire. (La parabole du sorcier Bergman.)

Les Amours d’une blonde, Milos Forman

Les Contes des chrysanthèmes tardifs, Kenji Mizoguchi
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