Fritz Lang

Fritz Lang

Classement :

10/10

  • Furie

9/10

  • La Rue rouge
  • J’ai le droit de vivre

8/10

  • La Femme au portrait
  • La Femme sur la lune
  • Les Nibelungen
  • Les Trois Lumières
  • Les Araignées
  • Casier judiciaire
  • Le Retour de Frank James
  • Les Pionniers de la Western Union

7/10

  • L’Invraisemblable Vérité
  • Règlement de comptes
  • Espions sur la Tamise
  • M le maudit
  • Metropolis
  • Au fil de l’eau
  • Les bourreaux meurent aussi
  • Chasse à l’homme
  • Les Espions
  • Le Testament du docteur Mabuse
  • Cape et Poignard
  • La Cinquième Victime

6/10

  • Les Contrebandiers de Moonfleet
  • Désirs humains
  • La Femme au gardénia
  • Le démon s’éveille la nuit
  • L’Ange des maudits
  • Liliom
  • Le Secret derrière la porte
  • Le Docteur Mabuse

5/10

  • Le Diabolique docteur Mabuse
  • Madame Butterfly

4/10

  • Le Tombeau hindou
  • Le Tigre du Bengale

3/10

Films commentés (articles) :

Simples notes 
Cap et Poignard (1946)

Encore un film d’espionnage baroque. Gary Cooper joue un scientifique (fonction rare au cinéma) à qui on demande de jouer les espions en Europe afin de débusquer les activités suspectes des nazis que l’on suspecte de mener parallèlement à ce qui se passe en Amérique avec le projet Manhattan un projet identique pour arriver à produire une bombe nucléaire. Le film pendant un moment paraît assez bien documenté (j’y ai reconnu les quelques rares bribes de connaissances que j’ai du sujet, notamment sur la nécessité de détenir certaines mines spécifiques en Europe, seules capables de délivrer des produits indispensables à la construction de la bombe), et puis tout prend un tournant romantique avec le personnage de Lilli Palmer. Le générique du film prétend que c’est son premier rôle (« introducting… »), ce n’est pas tout à fait exact. Ce qui l’est en revanche, c’est qu’elle tient tête à Gary Cooper. Elle y parle en plus italien, à se demander combien de langue elle a pu parler… Quelle actrice fabuleuse ! (Elle enchaînera avec Sang et Or.) Cooper, lui, s’essaie à l’allemand, mais on peut imaginer qu’il a bien été coaché dans l’affaire… Loin d’être du grand cinéma, un peu baroque donc en oubliant le sujet principal du film, mais assez appréciable.

La Femme au gardénia

Le director’s cut n’était pas encore à la mode dans les 50… 10m de trop.