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Les grands classiques notés 9/10
(classés chronologiquement par pays ou par cinéaste)
42e Rue, « Busby Berkeley«
Chercheuses d’or, Busby Berkeley Mervyn Leroy
Footlight Parade, » Busby Berkeley «
The Thin Man, W.S. Van Dyke
Mélange d’humour, de légèreté et de crime. Délicieux et spirituel jusque dans les bulles. L’un des plus beaux couples du cinéma : Powell-Loy
My Man Godfrey, Gregory La Cava
Le Grand Ziegfeld, Robert Z. Leonard
La Blonde platine, Frank Capra
L’Homme de la rue, Frank Capra
Les Raisins de la colère, John Ford
Les Anges aux figures sales, Michael Curtiz
Casablanca, Michael Curtiz
Les Fantastiques Années 20, Raoul Walsh
Une femme dangereuse, Raoul Walsh
Pré-noir félin. On aura beau dire, ça reste les chattes, à la maison comme dans le monde, qui portent la culotte.
Le Désert de la peur, Raoul Walsh
Le Chemin de la gloire, Howard Hawks
La Dame du vendredi, Howard Hawks
Seuls les anges ont des ailes, Howard Hawks
L’Impossible Monsieur Bébé, Howard Hawks
Rio Bravo, Howard Hawks
Indiscrétions, George Cukor
Une étoile est née, George Cukor
La Flamme sacrée, George Cukor
Hantise, George Cukor
Comment l’esprit vient aux femmes, George Cukor
Nous avons gagné ce soir, Robert Wise
Elle et Lui, Leo McCarey
Un homme qui ne voit pas en Deborah Kerr la femme idéale, la seule, l’unique, au point de trouver les autres quelconques n’est pas un homme.
La Splendeur des Amberson, Orson Welles
Macbeth, Orson Welles
La Comtesse aux pieds nus, Joseph L. Mankiewicz
Chaînes conjugales, Joseph L. Mankiewicz
Les Ensorcelés, Vincente Minnelli
Brigadoon, Vincente Minnelli
Thé et Sympathie, Vincente Minnelli
Il faut marier papa, Vincente Minnelli
Graine de violence, Richard Brooks
Elmer Gantry, le charlatan, Richard Brooks
Lord Jim, Richard Brooks
Johnny Guitare, Nicholas Ray
Il ne faut pas s’y tromper, ce n’est ni un western ni – malgré l’affiche – une opérette. Non, Johnny Guitare, c’est un vaudeville.
Derrière le miroir, Nicholas Ray
Sept Ans de réflexion, Billy Wilder
Irma la douce, Billy Wilder
Ariane, Billy Wilder
Témoin à charge, Billy Wilder
Uniformes et Jupon court, Billy Wilder
Embrasse-moi, idiot !, Billy Wilder
La Baronne de minuit, Mitchell Leisen, Billy Wilder (scénario)
Les Plus Belles Années de notre vie, William Wyler
Ben-Hur, William Wyler
My Fair Lady, William Wyler
L’Obsédé, William Wyler
Sueurs froides, Alfred Hitchcock
Psychose, Alfred Hitchcock
Moby Dick, John Huston
Les Désaxés, John Huston
La Nuit de l’iguane, John Huston
Baby Doll, Elia Kazan
À l’est d’Eden, Elia Kazan
Les Visiteurs, Elia Kazan
L’Arnaqueur, Robert Rossen
Seuls sont les indomptés, David Miller
Les Sentiers de la gloire, Stanley Kubrick
Spartacus, Stanley Kubrick
Diamant sur canapé, Blake Edwards
La Party, Blake Edwards
Le jour se lève, Marcel Carné
La Règle du jeu, Jean Renoir
La Grande Illusion, Jean Renoir
L’assassin habite… au 21, Henri-Georges Clouzot
Casque d’or, Jacques Becker
Antoine et Antoinette, Jacques Becker
Madame de…, Max Ophuls
À bout de souffle, Jean-Luc Godard
Le Samouraï, Jean-Pierre Melville
Jeunes Filles en uniforme, Leontine Sagan
Hamlet, Laurence Olivier
L’Ombre d’un homme, Anthony Asquith
Les Grandes Espérances, David Lean
Brève Rencontre, David Lean
La Fille de Ryan, David Lean
Sourires d’une nuit d’été, Ingmar Bergman
Des poils blonds sur des bras qui scintillent, des larmes sur des joues qui brillent comme des petites loupes… L’insomnie rêveuse d’Ingmar.
Persona, Ingmar Bergman
The Servant, Joseph Losey
Le Messager, Joseph Losey
Family Life, Ken Loach
Quand le spectateur ouvre les yeux sur le paysage social et psychologique que Loach lui dépeint, il découvre que c’est le sien.
Pas de larmes pour Joy, Ken Loach
L’avventura, Michelangelo Antonioni
Profession : reporter, Michelangelo Antonioni
Le Repas, Mikio Naruse
La douceur et la complexité du quotidien comme dans la rigueur et la simplicité d’un poème japonais.
Le Grondement de la montagne, Mikio Naruse
Nuages flottants, Mikio Naruse
L’art de la muflerie d’un homme qui s’évapore nonchalamment comme un nuage qui se fane au loin.
La Fin du printemps / Printemps tardif, Yasujirô Ozu
Bourgeon de juillet Au bras de son papa Fleurira peut-être.
Été précoce / Début d’été, Yasujirô Ozu
Voyage à Tokyo, Yasujirô Ozu
Printemps précoce, Yasujirô Ozu
Ozu ou l’incommunicabilité heureuse. Être là et savoir s’en contenter. Comme la triste vitalité d’un saule.
Crépuscule à Tokyo, Yasujirô Ozu
Fin d’automne, Yasujirô Ozu
Herbes flottantes, Yasujirô Ozu
Vingt-Quatre Prunelles, Keisuke Kinoshita
Les Amants crucifiés, Kenji Mizoguchi
La Rue de la honte, Kenji Mizoguchi
Le cauchemar sans fards des lumières de Yoshiwara, le mirage de la fin de la prostitution… Grinçants sont les derniers violons du maître.
La Condition de l’homme 1 et 2, Masaki Kobayashi
L’Île nue, Kaneto Shindô
Onibaba, les tueuses, Kaneto Shindô
Les Baisers, Yasuzô Masumura
Les amours adolescentes ou le plaisir de suivre Titi pétiller autour du bougon Gros minet pour lui faire la cour.
L’Ange rouge, Yasuzô Masumura
L’impitoyable chirurgie du désir comme seul dérivatif à ces guerres nécrophiles.
Passion, Yasuzô Masumura
Un Grand Sommeil psychologique avec des rebondissements si multiples qu’on finit avec Masumura par en rire… Un gros supermarché de dupes.
L’Idiot, Akira Kurosawa
Les salauds dorment en paix, Akira Kurosawa
Il y a quelque chose de pourri dans le monde de l’entreprise.
Un merveilleux dimanche, Akira Kurosawa
Les Plaisirs de la chair, Nagisa Oshima
Le Casanova d’Ôshima. Vacuité d’une quête qu’on sait dès le départ qu’elle sera sans issue. Mariko Kaga mon amour.
L’Empire des sens, Nagisa Oshima
L’Invaincu, Satyajit Ray
Il n’y a rien de plus honnête, de plus gracieux, de plus beau, de plus sûr, de plus gratuit, sur terre, que l’amour d’une mère.
Le Monde d’Apu, Satyajit Ray
Un dernier volet de la trilogie plus gai. Quoi que. Faut bien que notre héros soit pourchassé par la poisse sinon Apu d’histoire…
Charulata, Satyajit Ray
La France a sa Bovary, le Japon a son Repas, l’Inde a sa Charulata. La petite bourgeoise qui s’ennuie fait le tour du monde.
La Grande Ville, Satyajit Ray
Si le western montre parfois les débuts d’une société au sein d’une petite ville, Ray montre la transition de ces villes vers les grandes.
Des jours et des nuits dans la forêt, Satyajit Ray
S’éloigner de chez soi pour se révéler à soi-même, éprouver ses amitiés de jeunesse, séduire l’indigène et se faire faire la leçon…
L’Adversaire, Satyajit Ray
L’avilissement par le travail. Un homme et ses idéaux en lutte avec les réalités citadines. L’amour comme lueur d’espoir. Et l’échec.
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