Limguela Top Films – Page 10, Les films classiques obscurs, rares ou surnotés à 9/10

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Les films classiques obscurs, rares ou surnotés à 9/10


Four Faces West, Alfred E. Green

Anti-western où les coups de feu sont rares. Larmoyant, naïf, idiot, moralisateur, diront certains. Non, simple et juste.

Meurtre sous contrat, Irving Lerner

Blonde Crazy, Roy Del Ruth

Arlette et ses papas, Henry Roussel

Le théâtre de boulevard dans sa splendeur servi par deux génies de l’interprétation, Jules Berry et Max Dearly.

La Maternelle, Marie Epstein et Jean Benoît-Lévy

Je t’attendrai, Léonide Moguy

Une Ballade du soldat condensée un temps réel avec un Jean-Pierre Aumont en Orphée venant chercher Corinne Luchaire aux enfers.

 

Retour à la vie, André Cayatte, Henri-Georges Clouzot, Jean Dréville

Sorte de Nuremberg en peignoir. La remise en question non plus slmt des vaincus désignés mais de ceux qui se voient toujours en vainqueurs.

Une si jolie petite plage, Yves Allégret

Agence matrimoniale, Jean-Paul Le Chanois

Il n’y a qu’au cinéma où on voit une agence matrimoniale hériter d’un patron honnête. Blier magistral en algorithme sensible et d’antan.

Последняя ночь 1937

La Dernière Nuit, Yuli Raizman

Guerre et Paix réduit à quelques quartiers moscovites, une poignée de personnages, et une seule nuit pour basculer vers le communisme.

J’ai vingt ans, Marlen Khoutsiev

À vingt ans, toutes les nuits sont douces, et on les croit interminables. À vingt-trois, l’aube est déjà finie, et il faut se lever.

Le Quarante-et-Unième, Grigori Tchoukhraï

Le beau et la bête de tir. Le blanc, la rouge. Mais un homme et une femme jetés dans le Koh-Lanta de l’amour… Une 41ᵉ balle droit au cœur.

Guerre et Paix, Sergeï Bondarchuk

Le Disque rouge, Pietro Germi

Ces messieurs dames, Pietro Germi

Je la connaissais bien, Antonio Pietrangeli

Les Femmes des autres, Damiano Damiani

Senilità / Quand la chair succombe, Mauro Bolognini

Ce merveilleux automne, Mauro Bolognini

Longues focales pour porter l’attention sur l’essentiel : les regards, qui seuls dévoilent nos désirs — la souffrance des désirs interdits.

Certificat de naissance, Stanisław Różewicz

Trois Petits Poucet jetés dans les rues par la guerre. Trois contes. Trois Petits Soldats tirant des larmes

Étoiles, Konrad Wolf

Karla, Herrmann Zschoche

Leçon d’intégrité et d’intelligence sous la dictature communiste. « Il faut discuter des réalités pour les changer. »

Jakten / La Chasse, Erik Løchen

Western noir boréal et bourgeois avec un jeu de piste et une énigme récréative. Le Rashomon 2.0 réalisé par un hybride Kubrick-Bergman.

La Faim, Henning Carlsen

Le Voleur de pêches, Vulo Radev

Dita Saxová, Antonín Moskalyk

La Femme en question, Jacques Katmor

La Perle, Emilio Fernández

Invasion, Hugo Santiago

Thriller paranoïaque opposant une organisation secrète de résistance et des envahisseurs déjà trop bien acceptés par une population amorphe.

Ornamental Hairpin, Hiroshi Shimizu

Ohara Shôsuke-san, Hiroshi Shimizu

Jirô monogatari

L’Histoire de Jiro, Hiroshi Shimizu

Le charme de Shimizu : une sorte de nostalgie désuète du bonheur. Le tragique y est banal, touchant et simple. Le Rémi sans famille nippon.

Les Vicissitudes de la vie II, Mikio Naruse

Mélo conventionnel parfaitement exécuté. Déjà la lâcheté des hommes et tiraillement entre tradition et occidentalisation de la société.

Tabi yakusha

Les Acteurs ambulants, Mikio Naruse

Une tête de cheval écrasée, et c’est tout le Japon traditionnel qui semble être voué à disparaître. 

La Place de la femme, Mikio Naruse

Chez la femme (seg. des Baisers), Mikio Naruse

Courant du soir, Mikio Naruse

Le basculement d’une société à l’autre qui s’achève. La tradition devient folklore et la modernité, tous poils dehors, s’exhibe aux regards.

Une femme dans la tourmante

Une femme dans la tourmente, Mikio Naruse

Une veuve ivre d’amour pour son beau-frère préfère fuir plutôt que de perdre la face. Cette fuite, c’est la dignité d’un Japon qui s’efface.

Comme une épouse et comme une femme, Mikio Naruse

Tragédie moderne et toute puissance du père : le tableau cruel d’une maîtresse condamnée à voir élevés ses enfants par une autre.

Le Sifflement de Kotan, Mikio Naruse

Là-haut, dans les montagnes, le sifflement d’un peuple qui s’éteint. L’impérialisme et le racisme nippons, le choc des cultures, toujours.

Une femme dont on parle, Kenji Mizoguchi

Au-delà de l’intrigue amoureuse, comme un refrain qui s’entête : quand les femmes cesseront-elles d’être obligées d’en passer par là ?

Le Pauvre Cœur des hommes, Kon Ichikawa

Dobu, Kaneto Shindô

Ange sali par la crasse des hommes, Tsuru révèle autant les beautés que les petitesses des gens qui n’ont rien. Shindo l’humaniste.

Intimidation / Aru kyôhaku, Koreyoshi Kurahara

Hikô shôjo

Une jeune fille à la dérive, Kirio Urayama

L’adolescence sans complaisance, une infinie bienveillance pour des êtres chahutés par la vie, un film qui s’élance pour ne jamais retomber.

La Légende de Miyamoto Musashi, Tomu Uchida

Contes cruels de Bushido, Tadashi Imai

Zero no shôten, Yoshitarô Nomura

Harikomi

Stakeout / The Chase / Harikomi / La Traque, Yoshitaro Nomura

La chaleur moite de l’été, la blancheur des ombrelles, l’ennui des soirées où rien ne se passe : un film noir qui s’évapore comme la rosée. 

Chronique du soleil à la fin de l’ère Edo, Yûzô Kawashima (scénario : Shôhei Imamura)

Kiru

Tuer, Kenji Misumi

Derrière chaque détour de récit taillé par un maître conteur, des générations d’histoires peaufinées autour du feu. L’héritage de l’oralité.

Brassard noir dans la neige, Kenji Misumi

Le Palais de la princesse Sen, Kenji Misumi

Komako, fille unique de la maison Shiroko, Kenji Misumi

Le Temple du démon, Kenji Misumi

Zoku Dojo Yaburi Mondo Muyo, Yasushi Kikuchi, Kôki Matsuno

Dojo yaburi, Seiichirô Uchikawa

Les Onze Guerriers du devoir, Eiichi Kudô

Le Grand Attentat, Eiichi Kudō

Shin Zatôichi monogatari (3), Tokuzô Tanaka

Zatôichi sekisho yaburi (9), Kimiyoshi Yasuda

Jinsei gekijô : hisha kaku / Theater of Life — Hishakaku, Tadashi Sawashima

I, the Executioner / Requiem pour un massacre, Tai Katô

Blood of Revenge / Le Sang de la vengeance, Tai Katô

La Jeunesse de la bête, Seijun Suzuki

La Vie d’un tatoué, Seijun Suzuki

Suzuki défie la pesanteur et pose sa caméra à hauteur des morts pour filmer ceux destinés à le devenir.

 

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