Jean Renoir

Jean Renoir

Classement :

10/10

  • Les Bas-Fonds (1936)

9/10

  • La Règle du jeu (1939)
  • La Grande Illusion (1937)

8/10

  • La Marseillaise (1938)
  • Tire au flanc (1928) 

7/10

  • Le Caporal épinglé (1962) 
  • French Cancan (1955)
  • Le Journal d’une femme de chambre (1946)
  • L’Étang tragique (1941)
  • La Bête humaine (1938)
  • La Petite Marchande d’allumettes (1928)
  • Le Crime de Monsieur Lange (1936)
  • Sur un air de Charleston (1927)

6/10

  • Elena et les hommes (1956)
  • Le Fleuve (1951)
  • Vivre libre (1943) 
  • La vie est à nous (1936)
  • Toni (1935)
  • Madame Bovary (1934)
  • Boudu sauvé des eaux (1932)
  • La Chienne (1931)

5/10

  • Le Déjeuner sur l’herbe (1959)
  • Le Carrosse d’or (1952)
  • La Femme sur la plage (1947) 
  • L’Homme du Sud (1945)
  • Partie de campagne (1936)
  • La Nuit du carrefour (1932)
  • Nana (1926)
  • La Fille de l’eau (1925)

4/10

  • Le Petit Théâtre de Jean Renoir (1970)

3/10

*Simples commentaires :

Tire au flanc

Du théâtre truculent et burlesque. C’est idiot mais maîtrisé, et on y retrouve déjà concentrés La Règle du jeu et La Grande Illusion

Le Caporal épinglé

Tire-au-flanc + La Grande Illusion + Le Passage du Rhin + Au théâtre ce soir. Entre individualisme et anarchisme, Renoir n’a foi qu’en l’amitié. Superbes acteurs.

La même année qu’Un singe en hiver, Renoir nous pousse lui aussi la chansonnette d’avant-guerre, Nuit de Chine. Y a de ces coïncidences.

Vivre libre

Charles Laughton est exceptionnel, le reste c’est de la propagande hypocrite à vouloir brandir haut des valeurs qu’on voudrait universelles. 

La Femme sur la plage

Dans Laura, on se rinçait l’œil devant le portrait de Gene Tierney avant de la voir enfin. Ici, on évoque une fois un nu de Joan Bennett qu’on ne verra jamais. Renoir fils se dégonfle : le film était là, nulle part ailleurs. Sinon, deux nigauds, un aveugle et un officier souffrant du syndrome post-traumatique qui s’étripent pour gagner les faveurs d’une mante religieuse, non merci.

La Fille de l’eau

Renoir qui passe d’Antoine à Epstein, il y en a au moins un qui s’amuse.

Le Petit Théâtre de Jean Renoir

Seul le très court passage de Jeanne Moreau, qui n’a pourtant rien de bien cinématographique, rehausse ce désastre embarrassant. 

Publicité