Leo McCarey
Classement (longs) :
10/10
- Cette sacrée vérité (1937) *
- Elle et Lui (1939) *
9/10
- Elle et Lui (1957) *
8/10
- Les Cloches de Sainte-Marie (1945)
- La Route semée d’étoiles (1944)
7/10
- La Soupe au canard (1933)
- L’Extravagant Mr Ruggles (1935)
- Ce n’est pas un péché (1934) **
- Madame et ses partenaires (1930)
6/10
- Le Kid d’Espagne / Le Roi de l’arène (1932) **
- Lune de miel mouvementée (1942) **
5/10
- Place aux jeunes (1937) **
4/10
- Let’s Go Native (1930)
- Ce bon vieux Sam (1948)
3/10
- Indiscret (1931) **
- My Son John (1952) **
- Wild Company (1930) **
Courts métrages appréciés :
9/10
- À visage découvert / Le Mari à double face (1926)
8/10
- Looking for Sally (1925)
- Charlie rate son mariage (1925)
- No Father to Guide Him (1925)
- Should Husbands Be Watched? (1925)
- Charley My Boy! (1926)
*Films commentés (courts articles) :
**Simples notes :
Lune de miel mouvementée, (1942)
Décevant. J’ai cet opus dans mes carnets depuis vingt ans, je m’attendais à mieux. Certes, on pourrait presque y trouver un intérêt historique, le film prenant place dans toute l’Europe en guerre quand les USA ne l’étaient pas encore, mais c’est grossier, mal fichu et rarement drôle malgré la présence de Ginger Rogers et de Cary Grant.
My Son John (1952)
Ça commence comme un épisode de Dallas, puis comme un autre d’X-Files avant de tomber dans la propagande anti-rouge. Affligeant.
Place aux jeunes (1937)
C’est avec les vieilles peaux qu’on fait la meilleure soupe.
Ce n’est pas un péché (1937)
West écrit un rôle à sa mesure, prête à mettre la Louisiane à ses pieds et les hommes à son cou… L’ancienne star du vaudeville écrase tout.
Le Roi de l’arène (1932)
Des pitreries careysiennes en pagaille, une histoire de travestissement, un bel Cantor parfait mais un peu seul (Young est ridicule).
Indiscreet (1931)
Pris entre mélodrame et la comédie romantique, c’est toute la dissonance d’une actrice comme Gloria Swanson qui devient… parlant.
Wild Company (1930)
Des bribes de crime film, une touche d’humour un peu lourde, et une saveur mélodramatique moralisatrice propre au muet (c’est un parlant).
Lien externe :