mai – août 2021
Éclipse, Hiroshi Shimizu 1934
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Un héros de Tokyo, Hiroshi Shimizu (1935)
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La flor, Mariano Llinás (2016)
Vu que les deux premiers épisodes, impossible de regarder la suite tant la médiocrité, sur tous les niveaux, me saute à la figure. Écriture grossière, mise en scène plate et stéréotypée (un exploit), des longueurs insupportables dans les séquences, des actrices antipathiques, une musique omniprésente digne d’une série B des années 50, et le pire que tout de tout, surtout…, toute cette absence de talent chez les acteurs (cela vaut aussi pour la direction d’acteurs) qui me donne l’envie de leur donner des baffes toutes les 30 secondes (les répliques sont mal écrites, certes, mais ça récite à plein tube et ça joue ton sur ton pour être sûr qu’on a bien compris ce que eux ont compris dans leur texte…). À vomir.
Spetters, Paul Verhoeven (1980)
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Good Morning Vietnam, Barry Levinson (1987)
Ça allume toutes les cases : racisme asiatique, sexisme, humour sur les gays, et impérialisme neuneu (le base-ball c’est la civilisation). On croit une seconde que le film se ressaisit quand l’ami vietnamien explique que c’est lui, l’Américain, qui vient en ennemi et qui apporte le chaos et la mort dans son pays ; dialogue de sourds, l’Américain lui répondra naïvement qu’il vient les aider… C’est ce dialogue de sourds qui aurait été intéressant à raconter, mais évidemment bien moins drôle (si tant est que le reste du film puisse être drôle).
La Dernière Vague, Peter Weir (1977)
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Goodbye Paradise, Carl Schultz (1982)
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Pékin Opéra Blues, Tsui Hark (1986)
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Jackie, Pablo Larrain (2016)
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La Chasse, Carlos Saura (1966)
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Journal d’une femme médecin / Joi no Kiroku, Hiroshi Shimizu (1941)
Pour une première séance de cinéma après le confinement, un film japonais des années 30 (40 précoces, plutôt, mais la qualité laisse à désirer) où des médecins vantent les mérites de l’aération à des populations pauvres des montagnes touchées par la tuberculose, c’est assez cocasse. On y parle de tests, de taux de positivité, d’isolement et du repos des malades, ou encore d’apprentissage indispensable de l’hygiène. J’ai vu le tout dans une salle de cinéma à une jauge de 65 % au lieu de 35 % et sous les yeux de vieux spectateurs sans masque. Presque un siècle après, les montagnards à l’hygiène supposément douteuse sont théoriquement dans la salle, et c’est presque tristement ironique de les voir lever les yeux sur un film qui concerne les leçons d’hygiène et les risques épidémiques comme si c’était pour eux du chinois. Super retour. Au moins, ça fait plaisir de revoir du Shimizu. Je ne projette qu’un ou deux films au cinéma (je ne serai a priori immunisé pour ma part que début août), et beaucoup de ses films sont sur YouTube.
Peppermint frappé, Carlos Saura (1967)
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Anna et les loups, Carlos Saura (1973)
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