Satyajit Ray

Satyajit Ray2

Classement  :
 

 

Satyajit Ray with Ravi Sankar recording for Pather Panchali

10/10

  • La Complainte du sentier

9/10

  • Des jours et des nuits dans la forêt
  • Charulata
  • La Grande Ville 
  • L’Adversaire
  • Le Monde d’Apu
  • L’Invaincu

8/10

  • Trois Femmes
  • L’Expédition
  • Le Lâche
  • Tonnerres lointains
  • Two (court)
  • Deliverance (court)

7/10

  • La Déesse
  • La Maison et le Monde

6/10

  • Le Salon de musique
  • Les Joueurs d’échecs
  • Agantuk
  • Les Branches de l’arbre
  • Enfermé dans des limites / La Compagnie / Seemabaddha

5/10

  • Le Zoo
  • Kanchenjungha

4/10

  • Un ennemi du peuple

3/10

 

*Films commentés (articles) :


Lien IMDb

Filmographies et classements

· autres réalisateurs d’Asie


Satyajit Ray

David Cronenberg

Classement :
 

10/10

9/10

  • La Mouche (1986)
  • Dead Zone (1983)

8/10

7/10

  • Les Promesses de l’ombre (2007)
  • A History of Violence (2005)
  • Vidéodrome (1983)
  • Scanners (1981)

6/10

  • Faux-Semblants (1988)
  • Le Festin nu (1991)
  • Chromosome 3 (1979)
  • eXistenZ (1999)
  • Frissons (1975)
  • Stereo (1969)
  • Cosmopolis (2012)

5/10

  • Crash (1996)
  • M. Butterfly (1993)
  • Les Linceuls (2024)

4/10

3/10

  • A Dangerous Method (2011)

*Films commentés (articles) :



David Cronenberg

Denis Villeneuve

crédit Denis Villeneuve

Classement :

10/10

9/10

8/10

  • Prisoners (2013)
  • Incendies (2010)

7/10

  • Premier Contact (2016)
  • Sicario  (2015)

6/10

  • Next Floor (2008)
  • August 32nd on Earth (1998)

5/10

  • Blade Runner 2049 (2017)
  • Enemy (2013)
  • Dune (2021)
  • Dune : deuxième partie (2024)

Films commentés (articles) :

Simples notes : 

Dune : deuxième partie (2024)

J’ai tendance à dire que le cinéma, c’est 99% du montage, mais puisque je suis fort en mathématique, j’ajouterais que le bon cinéma, c’est 99% de sous-texte aussi. Tout est au premier degré, il n’y a absolument jamais aucun double sens, le doute n’est jamais permis (alors même que le roman est avant tout un jeu politique). On appelle ça le ton sur ton aussi, ou le maniérisme, le sur-jeu, voire tout simplement l’incompétence. Rien n’a changé chez Villeneuve depuis Next Floor. Un chef maquilleur qui se propose de régurgiter à sa sauce toute la culture SF de ses aînés.



Denis Villeneuve

Peter Weir

Classement : 

10/10

9/10

  • The Truman Show (1998)
  • Pique-Nique à Hanging Rock (1975)

8/10

7/10

  • Le Cercle des poètes disparus (1989)

6/10

  • Master and Commander: De l’autre côté du monde (2003)
  • État second (1993)
  • Green Card (1990)
  • Witness : Témoin sous surveillance (1985)
  • La Dernière Vague  (1977)

5/10

  • Mosquito Coast (1986)
  • L’Année de tous les dangers (1982)

Commentaires :



Peter Weir

Gaspar Noé

crédit Gaspar Noé
Classement :

4/10

  • Irréversible (2002)

3/10

  • Enter the Void (2009)

2/10

  • Love (2015)

1/10

Commentaires simples :
Love (2015)

Noé se rêve en Kubrick lubrique mais ne sait travailler depuis vingt ans que les Nuances de rouge…

On aurait presque l’impression que le garçon ne cesse de refaire sa version ultra-vulgaire et sexualisée de Eyes Wide Shut. Du sexe, de la drogue, des personnages insupportables, et une histoire d’amour (ou de sexe, mais pour Noé, c’est la même chose manifestement) qui tourne en rond à n’en plus finir.

Ça pourrait ressembler à du Godard si Noé avait le moindre génie, mais même le sens de l’aphorisme de Godard, lançant des vérités molles toutes les secondes, Noé en est incapable. Rien que des répliques d’une banalité affligeante. Le pire dans tout ça, c’est encore l’habituelle vulgarité du bonhomme. Et il doit penser ça follement subversif.

Irréversible (2002)

Memento prise en levrette par le maître du mauvais goût et de la vulgarité.

Gaspar Noé

Asghar Farhadi

crédit Asghar Farhadi

Classement : 

10/10

  • Une séparation (2011)

9/10

  • La Fête du feu (2006)

8/10

  • Le Client (2016)
  • Un héros (2021)

7/10

6/10

5/10

Films commentés (articles) :

Le Client (2016)

Pourquoi ce film a-t-il si mauvaise presse ? Il est dans la veine des deux autres que j’avais vus de lui jusqu’à présent (La Fête du feu et Une séparation). Celui-ci est peut-être moins tortueux que les autres, mais ça reste brillant. Mystère.



Asghar Farhadi

Abbas Kiarostami

Classement : 

10/10

  • Où est la maison de mon ami ? (1987)

9/10

  • Close-Up (1990)

8/10

  • Le Goût de la cerise (1997)
  • Deux Solutions pour un problème (1975)

7/10

  • Ordre et Désordre (1995)
  • Le Pain et la Rue (1970)
  • Le vent nous emportera (1999)

6/10

  • Copie conforme (2010)
  • Au travers des oliviers (1994)

5/10

Simples notes
Le vent nous emportera (1999)

Jeu de piste absurde dont la finalité m’échappe. L’explicite peut parfois vous mener en prison en Iran, mais quand tout devient brumeux, c’est à se demander si l’on ne prend pas le risque d’être compris de travers. Quelques allusions à la condition de la femme, au temps qui passe et à la beauté de la nature, mais guère plus. Pourquoi attendent-ils si longtemps la mort de la vieille ? Pourquoi ce puits dans le cimetière ? Quelle signification derrière cette scène étrange avec l’adolescente tirant le lait pour l’ingénieur ? Opposition éventuelle entre le rapport aux choses, au temps et à la mort depuis la capitale, et celui à la campagne.

Chez Kiarostami, comme d’habitude, quelques sophistications scénaristiques servent d’amuse-gueule aux spectateurs égarés : le comique de répétition (appel sur la colline, rencontres avec le gamin qui court cinquante écoles à la fois – au contraire des adolescentes, donc) et l’invisibilité de certains personnages qui demeurent hors-champ tout au long du film.

Le Goût de la cerise (1997)

L’anti La vie est belle 2eme volet après Storytelling.

« Salut, tu veux pas m’aider à me suicider ? — Hum, tu veux pas que je te suce la cerise plutôt ? — Non, merci. » « Salut, tu veux pas m’aider à me suicider ? — Mon Dieu, mais c’est interdit par le Coran… — La ferme. » « Salut, tu veux pas m’aider à me suicider ? — Pourquoi pas… Tiens, prends cette route s’il plaît, elle est plus belle, plus longue, mais vraiment jolie… — Tin, mais elle est toute cabossée ta saloperie de route ! — Oui, désolé, parfois on pense faire le meilleur choix et on se trompe… » « Salut Abbas, t’as pas une clope ? — Tiens. — Dis, tu as décidé d’une fin pour ton film ? — J’en sais rien, je m’en fous. — Mais Abbas, c’est pas sérieux… — C’est vrai, ce n’est qu’un film. »


Close-Up, Abbas Kiarostami (1990) Kanun parvaresh fekri | Les Films du Paradoxe



Abbas Kiarostami

Mark Robson

Classement :

10/10

9/10

8/10

  • Les Plaisirs de l’enfer (1957)

7/10

  • Le Champion (1949)
  • La Septième Victime (1947) 
  • Plus dure sera la chute (1956)

6/10

5/10

  • La Vallée des poupées (1967)

Films commentés (articles) :



Mark Robson