Richard Brooks

Classement :

10/10

  • La Chatte sur un toit brûlant (1958)
  • Les Frères Karamazov (1958)

9/10

  • Elmer Gantry, le charlatan (1960)
  • Graine de violence (1955)
  • Lord Jim (1965)

8/10

  • Le Carnaval des dieux (1957)
  • Feux croisés (1947) (adaptation)

7/10

  • Key Largo (1948) (scénario)
  • Les Professionnels (1966)
  • À la recherche de Mr. Goodbar (1977) *
  • Les Démons de la liberté (1947) (scénario)

6/10

  • Sergent la terreur (1953)
  • Le Cirque infernal (1953)
  • Cas de conscience (1950)
  • La Dernière Chasse (1956)
  • De sang-froid (1967)
  • La Chevauchée sauvage (1975)
  • Doux Oiseau de jeunesse (1962)
  • La Dernière Fois que j’ai vu Paris (1954)
  • Bas les masques (1952)
  • Le Repas de noces (1956)

5/10

  • Flame and the Flesh (1954)
  • Dollars (1971)

*Film commenté (article) :


Richard Brooks

Lewis Milestone

Classement :

8/10

  • L’Emprise du crime (1946) *

7/10

  • À l’Ouest, rien de nouveau (1930)
  • The Racket (1928)

6/10

5/10

  • Les Misérables (1952)
  • Know for Sure (1941 – court)

4/10

  • Rain (1932)

3/10

*Film commenté (article) :

Lewis Milestone

Sidney Lumet

crédit Sidney Lumet
Classement :

10/10

9/10

  • La Colline des hommes perdus (1965)
  • À bout de course (1988)
  • Serpico (1973)
  • 12 Hommes en colère (1957)

8/10

  • Equus (1977) *

7/10

  • Le Verdict (1982)
  • Network (1976)
  • Un après-midi de chien (1975)

6/10

  • L’Avocat du diable (1993)
  • Une étrangère parmi nous (1992)
  • Family Business (1989)
  • Le Prince de New York (1981)
  • Daniel (1983) *
  • L’Homme à la peau de serpent (1960)
  • Le Dossier Anderson (1971)
  • Long Voyage vers la nuit (1962)
  • Le Crime de l’Orient-Express (1974)
  • 7h58 ce samedi-là (2007)
  • À la recherche de Garbo (1984) *

5/10

  • Le Prêteur sur gages (1964) *
  • Jugez-moi coupable (2006)

*Films commentés (articles) :


Article :

Sidney Lumet

Paul Thomas Anderson

10/10

  • Boogie Nights (1997)

9/10

  • Magnolia (1999)
  • Punch-drunk love (2002)

8/10

  • Licorice Pizza (2021) 

7/10

  • There Will Be Blood (2007) *

6/10

  • The Master (2012)
  • Hard Eight (1996)

5/10

  • Inherent Vice (2014) *
  • Anima (2019)

*Films commentés (articles) :


Paul Thomas Anderson

Vincente Minnelli

crédit Vincente Minnelli
Classement :

10/10

9/10

  • Les Ensorcelés (1952)
  • Thé et Sympathie (1956) 
  • Brigadoon (1954)
  • Il faut marier papa (1963)

8/10

  • Madame Bovary (1949)
  • La Femme modèle (1957)

7/10

  • Le Chant du Missouri (1944)
  • Tous en scène ! (1953)
  • L’Horloge (1945)
  • La Vie passionnée de Vincent van Gogh (1956)
  • Un Américain à Paris (1951)
  • Le Père de la mariée (1950)
  • Un petit coin aux cieux (1943)
  • Gigi (1958)
  • Allons donc, papa ! (1951)
  • Quinze Jours ailleurs (1962)

6/10

  • Comme un torrent (1958)
  • Celui par qui le scandale arrive (1960)
  • Le Pirate (1948)
  • Qu’est-ce que maman comprend à l’amour ! (1958)
  • Les Quatre Cavaliers de l’apocalypse (1962)
  • Ziegfeld Follies (1945, co-dir.)
  • Lame de fond (1946)
  • La Toile d’araignée (1955)

5/10

  • La Roulotte du plaisir (1954)
  • Le Chevalier des sables (1965)

Film commenté (article prépubère) :

Simples notes : 

Les Ensorcelés (1952)

Revoyure (vieux films favoris, mais plus grands souvenirs). Appréciation probablement inchangé, et au-delà de toues les qualités du film, il y en a une qui explose à la figure et qui en balayerait presque les autres, c’est la performance de Gloria Grahame. Je pense l’avoir dit cent fois ici (et en particulier à propos de ses interprétations), il faut du génie pour jouer les imbéciles. Au même titre que Monroe, Gloria Grahame arrive à être à la fois glamour et stupide. Mais quel bonheur de la voir. On ne doit pas la voir plus de dix minutes et à chaque seconde de présence, elle arrive à placer un regard, une tonalité, un grand élan de fraîcheur naïf différent du précédent qui laisse pantois. Comment on dit ? Steal the show ? Quel bonheur cette actrice.

Vincente Minnelli

Quentin Tarantino

 
Classement :

10/10

  • Pulp Fiction *

9/10

  • Reservoir Dogs

8/10

  • Django Unchanded
  • Kill Bill: Volume 1 & 2
  • The Hateful Eight

7/10

  • Inglorious Basterds
  • Jackie Brown
  • Boulevard de la mort *

6/10

  • Grindhouse
  • Once Upon a Time… in Hollywood (2019) *

5/10

*Films commentés (articles) :

Quentin Tarantino

Howard Hawks

crédit Howard Hawks

Classement :

10/10

9/10

  • Rio Bravo (1959)
  • L’Impossible Monsieur Bébé (1938)
  • La Dame du vendredi (1940)
  • Seuls les anges ont des ailes (1939)
  • Le Chemin de la gloire (1936)

8/10

  • Le Grand Sommeil (1946)
  • La Chose d’un autre monde (1951)
  • Le Vandale (1936) 
  • Une fille dans chaque port (1928)

7/10

  • Le Port de l’angoisse (1944)
  • La Rivière rouge (1948)
  • Scarface (1932)
  • Sergent York (1941)
  • Les hommes préfèrent les blondes (1953)

6/10

  • La Captive aux yeux clairs (1952)
  • Allez coucher ailleurs (1949)
  • Chérie, je me sens rajeunir (1952)
  • Rio Lobo (1970)
  • Ville sans loi (1935)
  • La Terre des pharaons (1955)
  • Le Harpon rouge (1932)

5/10

  • El Dorado (1967)
  • Hatari! (1962)
  • Le Banni (1943)

4/10

3/10

  • Ligne rouge 7000 (1965)

Film commenté (court article) :


Howard Hawks

Tim Burton

crédit Tim Burton

Classement :

10/10

9/10

  • Edward aux mains d’argent (1990)
  • Batman (1989)
  • Batman, le défi (1992)

8/10

7/10

  • Ed Wood (1994)
  • Vincent (1982)
  • Sleepy Hollow (1999)
  • La Planète des singes (2001)

6/10

  • Big Fish (2003)
  • Beetlejuice (1988)
  • Sweeney Todd (2007)
  • Charlie et la chocolaterie (2005)
  • Mars Attacks! (1996)

5/10

  • Dark Shadows (2012)

4/10

  • Alice au pays des merveilles (2010)

3/10

 

Tim Burton

John Ford

L_Homme qui tua Liberty Valance, John Ford John Ford Productions
Classement :

10/10

9/10

  • Les Raisins de la colère (1940)
  • L’Homme qui tua Liberty Valance (1962)
  • Qu’elle était verte ma vallée (1941)
  • Les Quatre Fils (1928)

8/10

  • La Prisonnière du désert (1956)
  • La Chevauchée fantastique (1939)
  • Trois Sublimes Canailles (1926)
  • Le Cheval de fer (1924)
  • Je n’ai pas tué Lincoln (1936)
  • Rio Grande (1950)
  • Le Fils du désert (1948)
  • Sur la piste des Mohawks (1939)
  • Dieu est mort (1947)

7/10

  • La Poursuite infernale (1946)
  • Le Massacre de Fort Apache (1948)
  • Vers sa destinée (1939)
  • Toute la ville en parle (1935)
  • Ce n’est qu’un au revoir (1955)
  • Les Hommes de la mer (1940)
  • Le soleil brille pour tout le monde (1953)
  • La Route au tabac (1941)

6/10

  • Le Mouchard (1935)
  • Le Sergent noir (1960)
  • La Charge héroïque (1949)
  • La Dernière Fanfare (1958)
  • Les Sacrifiés (1945)
  • Steamboat Round the Bend (1935)
  • Les Cavaliers (1959)
  • Le Convoi des braves (1950)
  • La Conquête de l’Ouest (1962)
  • La Taverne de l’Irlandais (1963)
  • Frontière chinoise (1966)
  • Les Deux Cavaliers (1961)
  • Les Cheyennes (1964)
  • L’aigle vole au soleil (1957)
  • Mogambo (1953)
  • Le Jeune Cassidy (1965)
  • Doctor Bull (1933)
  • La Bataille de Midway (1942)

5/10

  • L’Homme tranquille (1952)
  • Permission jusqu’à l’aube (1955) *
  • Tête brûlée (1932)
  • Une femme survint (1932)
  • Judge Priest (1934)
  • Arrowsmith (1931)

4/10

  • Straight Shooting (1917)

3/10

*Film commenté (simple note) :

Simples notes
Dieu est mort

Ford tourne le film la même année que La Perla. Même esthétique « noire-poétique ». Emilio Fernández aurait réalisé quelques scènes. On y retrouve aussi Pedro Armendáriz.

Je doute qu’il soit parti au Mexique pour les beaux yeux de Dolores del Rio. C’est un film plus personnel et Ford était très croyant. Le film est beaucoup plus exigeant sur le plan esthétique que la plupart de ses films. C’est le genre de film qui pourrait être démoli aux USA pour son côté « art movie » et très apprécié en Europe. D’ailleurs le film avait été sélectionné pour la Mostra. Fonda pouvait être dégoûté, parce qu’il n’avait pas grand-chose à faire dedans. Presque autant crédible en latino que Charleton Heston dans la Soif du mal. C’est le principal défaut du film (même s’il s’en tire très bien comme d’habitude). Le style se rapprochement clairement de celui de Emilio Fernandez et sa mise en scène est parfaite. La seule différence entre La Perla et Dieu est mort doit sans doute plus se trouver dans l’intérêt des textes des deux auteurs américains qui sont adaptés. Il n’y aurait pas toute cette religiosité plan-plan, je montais à 9. J’imagine que Fonda s’il avait vu La Perla l’aurait tout autant détesté. Au contraire d’un Charles Laughton par exemple. On y retrouve à un certain degré la même poésie sombre. Ça doit être passionnant à lire une biographie dans laquelle l’auteur ne cesse d’émettre un avis sur le travail de la personnalité dont il parle. Il faudrait voir ce qu’il dit en totalité, parce que écrire « le pire Ford », ça vaut peanuts. Soit il est historien biographe, soit il est critique. Et même entant que critique, ça volerait pas haut. Pour confirmer son impression, il viendrait donc chercher une déclaration de Fonda mettant en doute l’honnêteté de Ford quand il disait être fier de son film^. Il faudrait me rappeler de pas lire ce bouquin. Sans le lire je peux dire que c’est sans doute le pire que son auteur ait écrit. La preuve, j’ai rencontré un fils de pute tordu ayant travaillé avec McBride qui trouvait le livre absolument dégueulasse. Ça ne peut donc être que vrai.

John Ford