Yasujirô Ozu

Classement :
10/10
9/10
- Début d’été (1951)
- La Fin du printemps (1949)
- Voyage à Tokyo (1953)
- Herbes flottantes (1959)
- Fin d’automne (1960)
- Printemps précoce (1956)
- Crépuscule à Tokyo (1957)
- Récit d’un propriétaire (1947)
8/10
- Fleurs d’équinoxe (1958)
- Dernier Caprice (1961)
- Histoire d’herbes flottantes (1934)
- Les Frères et les Sœurs Toda (1941)
- Une poule dans le vent (1948)
- Qu’est-ce que la dame a oublié ? (1937)
- Où sont les rêves de jeunesse ? (1932)
- Bonjour (1959)
- Le Goût du riz au thé vert (1952)
7/10
- Le Goût du saké (1962)
- Et pourtant nous sommes né (1932)
- Le Fils unique (1936)
- Il était un père (1942)
- Cœur capricieux (1933)
- L’Épouse de la nuit (1930)
- Le Chœur de Tokyo (1931)
6/10
- Une auberge à Tokyo (1935)
5/10
Films commentés (articles) :
Listes :
Simples notes :
Le Goût du riz au thé vert (1952)
À croiser avec Le Repas, de Naruse. Est-ce que Ozu aurait cherché à offrir sa version (forcément très identique, mais on sait le goût d’Ozu pour la reproduction, la variation) des petites tensions du mariage pour finir par un retour bien tranquille à l’ordre ? Y poser sa patte, c’est notamment y inclure pas mal d’humour à la sauce Ozu, immédiatement toujours suivi de notes plus dramatiques. Il faut voir la séquence où la femme demande à son mari de gronder bien fort sa nièce. On aurait tout aussi bien pu imaginer Chishū Ryū dans cette scène de remontrances pleines d’excès et de vocalises.
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