Chantal Akerman
Classement :
8/10
- J’ai faim, j’ai froid (1984)
- Les Rendez-vous d’Anna (1978)
7/10
- Chantal Akerman par Chantal Akerman (1997)
- No Home Movie (2015)
- Lettre d’un cinéaste: Chantal Akerman
6/10
- De l’autre côté (2002)
- D’Est (1993)
- Les Années 80 (1983)
- Dis-moi (1980 TV Movie)
- Portrait d’une jeune fille de la fin des années 60 à Bruxelles 10 quai des (1994)
5/10
- News from Home (1977)
- Sud (1999)
- All Night Long (1982)
- Jeanne Dielman, 23 quai du Commerce, 1080 Bruxelles (1975)
4/10
- Down There (2006)
- L’Enfant aimé ou Je joue à être une femme mariée (1971)
- Golden Eighties (1986)
3/10
- Hôtel Monterey (1973)
- Un divan à New York (1996)
- Je, tu, il, elle (1974)
- Almayer’s Folly (2011)
2/10
- La Captive (2000)
1/10
- Saute ma ville (1968)
- La Chambre (1972)
*Films commentés (articles) :
Simples notes :
Golden Eighties
Personne n’a jamais trouvé la planète sur laquelle Chantal Akerman pouvait bien habiter.
L’Enfant aimé ou Je joue à être une femme mariée)
D’Est
Hiver 93, Moscou. Dix centimètres de neige, la RATP fait grève. Chantal Akerman se propose de ramener tout le monde en travelling.
À croiser avec Polustanok, La Station, de Sergei Loznitsa (2000).
Toute une nuit
La Fièvre du samedi soir vu par Roy Andersson. Je suis toujours tenté de situer Akerman entre Tati et Bresson. On sent les tentatives d’humour, c’est même parfois drôle, mais la maîtrise de la forme narrative me laisse bien circonspect. Entre fiction et expérimentation, Akerman penche peut-être ici un peu trop vers l’expérimentation. Et ça finit par lasser.
Lettre d’un cinéaste
Akerman qui fait du Luc Moullet. J’aurais bien voulu voir Les Essais d’ouverture de Jeanne Dielman sur une bouteille de Pepsi 1L…
Chantal Akerman par Chantal Akerman
Avoir une si belle langue et proposer essentiellement un cinéma sans paroles…
News from Home
Si vous avez perdu vos clés quelque part à New York en 1977, Chantal Akerman vous laisse une chance de les retrouver en regardant son film.
Hôtel Monterey
Trente pèlerins à la cinémathèque à regarder les murs d’un hôtel pendant une heure… Cinéma de la lambination.
La Captive
Incompétence sidérante. J’ai presque de la peine pour les acteurs, à se retrouver impliqués si jeunes dans des projets avec des vieux disposant d’un savoir-faire proche du néant en matière de direction, et devoir ensuite assurer le service après-vente.
Lien externe :