Samuel Fuller

Samuel Fuller 

Pages de commentaires / Notes de visionnage 2018 (rétro)

Classement :

8/10

  • Quarante Tueurs 

7/10

  • Baïonnette au canon
  • Les maraudeurs attaquent 
  • Le Baron de l’Arizona 
  • J’ai vécu l’enfer de Corée
  • Le Port de la drogue

6/10

  • Jeanny, femme marqué (scénario) 
  • L’Inexorable Enquête (scénario)
  • Violences à Park Row 
  • Shock Corridor
  • Le Jugement des flèches
  • Au-Delà de la gloire

5/10

  • Le Kimono pourpre 
  • Verboten! / Ordre secret… 
  • Dressé pour tuer 
  • Les Bas-Fonds new-yorkais 
  • J’ai tué Jesse James 
  • The Naked Kiss 

4/10

3/10

  • La Maison de bambou 

Films commentés (articles) :


 

Simples notes :

Jenny, femme marquée

Superbe travail de Douglas Sirk, excellente distribution, mais voilà, c’est Fuller à l’écriture, et ça tourne vite au nanar.

Quarante Tueurs

Voilà mon Fuller préféré. Le bon Sam ne peut pas s’empêcher de tirer des coups stupides avec son scénario, mais on va être compréhensif pour cette fois…

Ordre secret aux espions nazis

Fuller et ses grosses ficelles… Rarement vu un personnage féminin aussi mal dessiné avec des revirements à peine crédibles.

Le Kimono pourpre

« Samuel, ton objectif pour ce film est de t’en tenir à ton idée de départ. » « Et s’il y a une jolie actrice ? » « Pas d’initiatives personnelles. »

Et comme toujours, Sam déserte son propre film pour s’intéresser à tout autre chose.

Dressé pour tuer

Donc un chien qui tue trois ou quatre personnes après que ses dresseurs et propriétaires découvrent qu’il attaque les Noirs, on continue de chercher à le « dresser » alors que ses victimes baignent encore dans une flaque de sang ? Crédible. La logique de Fuller, on dira.

Les Bas-Fonds new-yorkais

Occupation favorite de Fuller, le prince des grosses ficelles : faire passer des chameaux dans le chas des aiguilles. 

Les maraudeurs attaquent

Je crois que c’est encore le plus que je peux supporter du vieux Samy. Ça reste sobre malgré tout pour un film de guerre.

Violence à Park Row

Entre Capra et Citizen Kane, Fuller peine à faire rentrer son arbre de Noël dans une boule à neige. Il faut toutefois remarquer l’effort, l’audace même, de Fuller, capable en dehors du système des studios de pondre ce genre de films de sa poche. Manque malheureusement l’ampleur. Parce que c’est là le problème toujours de Fuller : si ses films sont si imparfaits, c’est qu’il les écrit, les monte et les produit seul comme si c’était des films de studio.

J’ai tué Jesse James

Superbe casting pour une première production, mais déjà un scénario bancal et un rythme qui s’enrayerait si la musique ne nous entraînait pas dans son sillage.

Le Baron de l’Arizona

Plus c’est gros, plus ça passe qu’on dit en matière de fraude. Fuller aurait dû toute sa vie se contenter de raconter des histoires d’escrocs. Pas fait pour la subtilité le Samuel.