Luis Buñuel

Luis Buñuel

Classement  :

10/10

9/10

  • Los olvidados (1950)

8/10

  • La fièvre monte à El Pao (1959)
  • L’Enjôleuse / El bruto (1953)
  • El Gran calavera / Le Grand Noceur (1949)
  • Susana la perverse (1951)

7/10

  • Tourments (1953)
  • Nazarin (1959)
  • La Vie criminelle d’Archibald de La Cruz (1955)
  • L’Ange exterminateur (1962)
  • Viridiana (1961)
  • Simon du désert (1965 Short Film)

6/10

  • Journal d’un femme de chambre (1964)

5/10

  • Le Fantôme de la liberté (1974)
  • Un chien andalou (1929 Short Film)
  • Belle de jour (1967)
  • Terre sans pain (1933 Documentary)
  • L’Âge d’or (1930)
  • Tristana (1970)
  • Le Charme discret de la bourgeoisie (1972)
  • Cet obscur objet du désir (1977)
  • La Voie lactée (1969)
  • Las aventuras de Robinson Crusoe (1954)

Films commentés (articles) :

Simples notes :
Terre sans pain (1933)

L’ironie de tout envers ceux qui n’ont rien. La misère du voyeur qui se surprend à rire (et à qui on réclame de ne pas succomber… au fascisme). Détour à la fois ironique et idéologique (oui, on peut faire les deux, apparemment) plutôt étrange et suspect, mais qui interroge. C’est un peu comme voir un propagandiste pratiquer un cadavre exquis… À la fois ridicule, suspect et contradictoire. Le surréalisme, s’il existe ici, il est là.

Los olvidados (1950)

Le comble de la misère c’est quand même ta mère n’a plus confiance en toi et qu’elle couche avec tes mauvaises fréquentations, ton Méphisto.

Revu, sans doute mon Buñuel préféré.

(L’amour d’une mère au ralenti… y a déjà de L’Enfance d’Ivan là-dedans.) Buñuel nous damnerait presque à nous montrer de si belles jambes interdites (celles de Maman dans sa bassine, ou les cuisses d’une fillette à peine nubile maculées de lait…). Pervers, le Méphisto, c’est lui, aussi.

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