Elio Petri

Classement :
8/10
7/10
6/10
- La classe ouvrière va au paradis (1971)
- Todo modo (1976)
- À chacun son dû (1967)
- La Dixième Victime (1965)
5/10
- Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (1970)
- Un coin tranquille à la campagne (1968)
*Films commentés (articles) :
Simples notes
À chacun son dû (1967) et La Dixième Victime (1965).
Toujours autant de mal à apprécier l’écriture sèche, corrosive, politique d’Elio Petri. Les personnages semblent n’être que les instruments d’une histoire qui les dépasse. Les relations passent au second plan ou leur mise en œuvre à travers la mise en scène échoue à toucher ma sensibilité de petit spectateur romantique. Si les histoires d’amour finissent toujours mal en général, chez Elio Petri, elles commencent toujours dans la pièce d’à côté.
On peut noter que l’idée de La Dixième Victime a été maintes fois reprise au cinéma : La Mort en direct, de Tavernier, Running Man/Le Prix du danger (adaptés d’une nouvelle du même auteur, Robert Sheckley, même si le premier adapte un roman de Stephen King) ou la série préférée de Donald Trump, The Purge.
Lien externe :