Miklós Jancsó

Classement :
10/10
9/10
8/10
- Rouges et Blancs (1967)
7/10
6/10
- Les Sans-Espoir (1966)
- Psaume rouge (1972)
5/10
4/10
3/10
- Sirocco d’hiver (1969)
Simples notes :
Psaume rouge (1972)
Happening socio-folklorique sans grand intérêt. La lumière d’été fait bien jolie sur pellicule, les filles sont jolies, et nues, la musique détourne du vide de l’histoire. Je pourrais refourguer le commentaire du Sirocco d’hiver en fait, mais l’hiver et le sirocco doivent m’être encore plus insupportables que les libertés sexuelles exposées dans un film socio-hippie avec des tétons et des culs avec la marque du maillot. Un petit côté Mon curé chez les nudistes.
Sirocco d’hiver (1969)
Séquence ça finit ? Sérieusement, Miklós Jancsó s’amuse avec sa caméra pour proposer le plus de plans-séquences possibles, il force la lenteur, mais peine à masquer le grand inintérêt des situations décrites.
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