Emir Kusturica

crédit Emir Kusturica

Classement :
 

10/10

9/10

  • Le Temps des gitans (1988)
  • Chat noir, Chat blanc (1998)
  • Underground (1995)

8/10

7/10

6/10

  • Papa est en voyage d’affaires (1985)
  •  Arizona Dream (1993) *

5/10

*Film commenté (article prépubère) :

Emir Kusturica

Radu Jude

Classement : 

8/10

  • Cœurs cicatrisés (2016)

7/10

  • La Fille la plus heureuse du monde (2009)

6/10

  • Peu m’importe si l’histoire nous considère comme des barbares (2018)
  • Bad Luck Banging or Loony Porn / Babardeală cu bucluc sau porno balamuc (2021)

Articles :

Courts articles :

Commentaires simples :

Cœurs cicatrisés, Radu Jude (2016)

La Montagne magique au niveau de la mer et sans les discussions philostropiques de Mann. La justesse du plan-séquence, sans excès. 


Lien externe :

IMDb


Radu Jude

Andrzej Zulawski

Crédit Andrzej Zulawski

Classement :

8/10

  • Possession (1981) *
  • Le Globe d’argent (1988) *

7/10

6/10

  • La Femme publique (1984)
  • L’important c’est d’aimer (1975)
  • L’Amour braque (1985)

5/10

*Films commentés (articles) :

Andrzej Zulawski

Juraj Herz

crédit Juraj Herz

Classement : 

8/10

  • La Belle et la Bête (1978)

7/10

  • Brutalités récupérées (1965)

6/10

5/10

  • L’Incinérateur de cadavres (1969)

4/10

3/10

  • Le Vampire de Ferat (1982)*

*Simples notes :

Le Vampire de Ferat (1982)

On dit que la route tue quand on devrait dire plus justement que les autos tuent. Illustration presque littérale ici. Herzatz cronenbergrien. Jiri Menzel devant la caméra (je le préfère derrière).

Juraj Herz

Jirí Menzel

crédit Jiri Menzel

Classement : 

8/10

7/10

  • Un été capricieux (1968)
  • Alouettes, le fil à la patte (1969)

6/10

  • Trains étroitement surveillés (1966)

5/10

 

Simples notes :
Un été capricieux

Un ton unique, entre burlesque et poésie. Un peu comme si on avait donné la parole et un sexe à Tati. Ce n’est pas toujours réussi, mais à la longue on s’y fait, surtout grâce à la performance de l’acteur principal. C’est malheureusement parfois un peu redondant, avec l’idée que le voltigeur puisse reproduire deux ou trois soirs de suite le même spectacle dans le même coin perdu. (Censuré à l’époque, on se demande bien pourquoi. Le côté sexuel peut-être, anticlérical, voire moqueur à l’égard de quelques membres de l’autorité de l’État…)

Jirí Menzel

Andrzej Wajda

Crédit Andrzej Wajda

Classement : 

10/10

9/10

  • Cendres et diamant (1958)

8/10

7/10

  • L’Homme de marbre (1977)
  • Ils aimaient la vie (1957)

6/10

  • Danton (1983)
  • La Terre de la grande promesse (1975)
  • Une fille a parlé (Une génération) (1955)
  • L’Amour à vingt ans (1962) (co)

5/10

  • L’Homme de fer (1981)
  • Les Noces (1973)

Simples notes : 

Les Noces (1973)

Film complètement foutraque qui fait le récit sur une dizaine d’heures de mariage. Des ivrognes en sueur, des phrases gueulées ici ou là. Ça braille, ça danse, ça picole, ça s’embrouille, et au matin, on est réveillés par les serpes…

Le problème avec les gens qui parlent trop fort, c’est qu’on n’a pas envie de comprendre de quoi ils parlent.

On peut noter l’excellent travail de reconstitution, la bonne mise en place de Wajda qui parvient à placer tout ce petit monde devant sa caméra, mais on se demande où tout cela nous mène. La lumière en soirée est froide comme dans un film de Sacha Vierny, et il faut attendre l’aube et ses brouillards givrants pour que ce type de lumière donne en plein jour quelque chose de réellement remuant.

On se contentera de ces quelques jolies images sur les dernières minutes, tout le reste donne la migraine, et l’on est content une fois que tout le monde se tait.

Andrzej Wajda

Miklós Jancsó

crédit Miklós Jancsó

Classement : 

10/10

9/10

8/10

  • Rouges et Blancs (1967)

7/10

6/10

  • Les Sans-Espoir (1966)
  • Psaume rouge (1972)

5/10

4/10

3/10

  • Sirocco d’hiver (1969) 

Simples notes :

Psaume rouge (1972)

Happening socio-folklorique sans grand intérêt. La lumière d’été fait bien jolie sur pellicule, les filles sont jolies, et nues, la musique détourne du vide de l’histoire. Je pourrais refourguer le commentaire du Sirocco d’hiver en fait, mais l’hiver et le sirocco doivent m’être encore plus insupportables que les libertés sexuelles exposées dans un film socio-hippie avec des tétons et des culs avec la marque du maillot. Un petit côté Mon curé chez les nudistes.

Sirocco d’hiver (1969)

Séquence ça finit ? Sérieusement, Miklós Jancsó s’amuse avec sa caméra pour proposer le plus de plans-séquences possibles, il force la lenteur, mais peine à masquer le grand inintérêt des situations décrites.

Miklós Jancsó