Emir Kusturica

Classement :
10/10
9/10
- Le Temps des gitans (1988)
- Chat noir, Chat blanc (1998)
- Underground (1995)
8/10
7/10
6/10
- Papa est en voyage d’affaires (1985)
- Arizona Dream (1993) *
5/10
*Film commenté (article prépubère) :
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10/10
9/10
8/10
7/10
6/10
5/10
*Film commenté (article prépubère) :
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10/10
9/10
8/10
7/10
6/10
5/10
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8/10
7/10
6/10
5/10
Lien externe :

8/10
7/10
6/10
Articles :
Courts articles :
Commentaires simples :
La Montagne magique au niveau de la mer et sans les discussions philostropiques de Mann. La justesse du plan-séquence, sans excès.
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8/10
7/10
6/10
5/10
*Films commentés (articles) :
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8/10
7/10
6/10
5/10
4/10
3/10
*Simples notes :
On dit que la route tue quand on devrait dire plus justement que les autos tuent. Illustration presque littérale ici. Herzatz cronenbergrien. Jiri Menzel devant la caméra (je le préfère derrière).
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8/10
7/10
6/10
5/10
Un ton unique, entre burlesque et poésie. Un peu comme si on avait donné la parole et un sexe à Tati. Ce n’est pas toujours réussi, mais à la longue on s’y fait, surtout grâce à la performance de l’acteur principal. C’est malheureusement parfois un peu redondant, avec l’idée que le voltigeur puisse reproduire deux ou trois soirs de suite le même spectacle dans le même coin perdu. (Censuré à l’époque, on se demande bien pourquoi. Le côté sexuel peut-être, anticlérical, voire moqueur à l’égard de quelques membres de l’autorité de l’État…)
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10/10
9/10
8/10
7/10
6/10
5/10
Simples notes :
Film complètement foutraque qui fait le récit sur une dizaine d’heures de mariage. Des ivrognes en sueur, des phrases gueulées ici ou là. Ça braille, ça danse, ça picole, ça s’embrouille, et au matin, on est réveillés par les serpes…
Le problème avec les gens qui parlent trop fort, c’est qu’on n’a pas envie de comprendre de quoi ils parlent.
On peut noter l’excellent travail de reconstitution, la bonne mise en place de Wajda qui parvient à placer tout ce petit monde devant sa caméra, mais on se demande où tout cela nous mène. La lumière en soirée est froide comme dans un film de Sacha Vierny, et il faut attendre l’aube et ses brouillards givrants pour que ce type de lumière donne en plein jour quelque chose de réellement remuant.
On se contentera de ces quelques jolies images sur les dernières minutes, tout le reste donne la migraine, et l’on est content une fois que tout le monde se tait.
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8/10
7/10
6/10
5/10
*Films commentés (articles) :
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10/10
9/10
8/10
7/10
6/10
5/10
4/10
3/10
Simples notes :
Happening socio-folklorique sans grand intérêt. La lumière d’été fait bien jolie sur pellicule, les filles sont jolies, et nues, la musique détourne du vide de l’histoire. Je pourrais refourguer le commentaire du Sirocco d’hiver en fait, mais l’hiver et le sirocco doivent m’être encore plus insupportables que les libertés sexuelles exposées dans un film socio-hippie avec des tétons et des culs avec la marque du maillot. Un petit côté Mon curé chez les nudistes.
Séquence ça finit ? Sérieusement, Miklós Jancsó s’amuse avec sa caméra pour proposer le plus de plans-séquences possibles, il force la lenteur, mais peine à masquer le grand inintérêt des situations décrites.
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