Panique à Needle Park, Jerry Schatzberg (1971)

 

The Panic in Needle Parkpanique-a-needle-park-jerry-schatzberg-1971Année : 1971

 

Réalisation :

Jerry Schatzberg

7/10  lien imdb
 

Vu le : 10 mai 2007

Sur La Saveur des goûts amers :

Les Indispensables de 1971

Vers le Nouvel Hollywood

Le film a sans doute convaincu Coppola de prendre Al Pacino dans le Parrain.

Le premier film important de Pacino donc (indépendant bien sûr). Il y fait… du Pacino. C’est censé être un acteur de composition, mais il fait depuis plus de 30 ans tout le temps la même chose. Cherchez l’erreur.

Le film est bon mais ce n’est pas un chef-d’œuvre. Dans la veine de ce qui se faisait à l’époque, façon nouvel Hollywood : glauque et très naturaliste, très chronique du quotidien (ou Journal d’une femme camée). Ça reste un peu timide malgré tout, superficiel. Dans le même genre on a vu mieux et avec un peu plus de second degré (Macadam Cowboy). L’Épouvantail me paraissait bien meilleur…


Panique à Needle Park, Jerry Schatzberg 1971 The Panic in Needle Park | Gadd Productions Corp.Didion-Dunne


Robert Benton

Classement :

10/10

9/10

8/10

  • Kramer contre Kramer (1979)

7/10

  •  Un homme presque parfait (1994)

6/10

  • La Couleur du mensonge (2003) 

5/10

4/10

  • Billy Bathgate (1991) 

3/10

Films commentés :


Article :

Robert Benton

Jerry Schatzberg

Classement :

10/10

9/10

  • L’Épouvantail (1973)

8/10

7/10

  • Panique à Needle Park (1971)

6/10

5/10

Films commentés (journal d’un cinéphile prépubère) :


Article :

Jerry Schatzberg

L’Épouvantail, Jerry Schatzberg (1973)

L’Épouvantail

Scarecrow Année : 1973

Vu le : 26 mai 1997

6/10 IMDb

Réalisation :

Jerry Schatzberg


Avec :

Gene Hackman, Al Pacino, Dorothy Tristan

— TOP FILMS

Cent ans de cinéma Télérama

Les Indispensables du cinéma 1973

Vers le Nouvel Hollywood

Listes sur IMDb :

Limguela top films

MyMovies: A-C+

Journal d’un cinéphile prépubère : le 26 mai 1997

Film très agréable et émouvant. Les meilleurs moments sont à mettre au crédit d’Al Pacino, dans ses délires. Par exemple, lors de la scène du vol au magasin. Les rapports entre les deux personnages sont passionnants, ils évoluent considérablement et sont tellement différents qu’on prend plaisir à le savoir déteindre l’un sur l’autre : c’est le réel sujet du film et les différents épisodes ne sont là que pour illustrer ce thème, cette amitié.

La mise en scène passe du comique au tragique, du bruit au silence. Très émouvant.

L’Épouvantail, Jerry Schatzberg 1973 | Warner Bros.